"Tout ce qui n'est pas transmis... est perdu !"
Halte aux fausses bonnes idées managériales !
L’erreur est humaine, les managers sont humains, donc ils font des erreurs. D’un côté règne le mythe que le management s’apprend sur le tas, comme si les collaborateurs étaient des cobayes. De l’autre, les « bonnes pratiques » colportées par les formateurs et les médias relèvent plus de croyances que de la science.
C’est pourquoi Errare managerium est s'appuie sur la recherche scientifique pour présenter :
• 30 fausses bonnes idées ;
• des conseils pour éviter de commettre ces erreurs ;
• des recommandations pour les réparer.
Un bon manager n’est pas un surhomme, mais un manager qui ne commet pas de graves erreurs. Ne soyez plus un manager bling-bling, sauveur, warrior ou coach. Libérez-vous des fausses croyances pour devenir un meilleur manager !
Un livre à mettre dans les mains de tous les managers… donc à offrir à son patron !
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Nous souhaitons tous :
... tout en préservant du temps pour nous !
Mais comment jongler entre ces multiples domaines de vie... sans faire de burnout ?
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À travers cent portraits et anecdotes, je raconte avec humour les découvertes que j'ai faites en travaillant pendant un an au sein d’une entreprise publique. J'y ai rencontré des glandeurs, des « pigeons » et des incompétents. Mais aussi et surtout des gens de bonne volonté au départ qui finissent totalement démotivés. Pourtant, aucun ne démissionne car la soupe est bonne : c’est le piège de la prison dorée.
Ce livre est le récit de ce qui m’a fait rire et pleurer afin de montrer l’envers du décor et comprendre les (dys)fonctionnements ordinaires d’une grande entreprise française.
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Critique du journal Le Monde (18/04/2020) --->
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Depuis plus d'une dizaine d'années, j’observe le monde du travail et rencontre de nombreux salariés en tant que sociologue. J’ai voulu dresser le bilan à partir de la question suivante : "Qu’est-ce que qui m’a le plus frappé ?" Réponse : le silence des cadres.
La norme est qu’un cadre, ça ferme sa gueule ou ça démissionne ! D’où l’idée d’enquêter sur le « malaise des cadres », serpent de mer médiatique aussi vieux que la notion de cadre.
Ce « malaise » est-il un mythe ou une réalité ? Sur quoi repose-t-il ? De quelle liberté d’expression disposent les cadres ? Quels sont les alternatives au silence ? Quelles sont leurs frustrations et leurs aspirations ? Sont-ils encore loyaux ? Leur santé est-elle en danger ? Quel est l’avenir de cette catégorie sociale, un siècle après sa création ?
L’analyse, qui s’appuie sur plus d’une centaine de témoignages, se veut surtout constructive. Le dernier chapitre rassemble ainsi un ensemble de propositions concrètes.
Reste à savoir si tous ceux qui jurent, la main sur le cœur, vouloir agir pour la santé au travail et mettre l’humain au centre de l’entreprise… seront prêts à passer du discours aux actes !
Critique du journal Le Monde --->
Articles/interviews: Les Échos L'Express France Inter France Info L'Usine nouvelle L'Entreprise
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L’absentéisme suscite les passions, comme le montrent par exemple les débats sur le nombre de jours de carence des fonctionnaires. Mais, pour le réduire, il faut surtout revenir à la raison en identifiant les causes des arrêts de travail et en élaborant un plan d’action efficace.
A partir de cas concrets, ce livre vous aidera à agir grâce :
– au panorama des origines de l’absentéisme ;
– à l’analyse des atouts et des limites des principales actions menées par les entreprises ;
– à des conseils méthodologiques
DRH, managers, dirigeants, l’absentéisme n’est plus une fatalité !
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Du fait de la crise économique, un phénomène méconnu est en pleine croissance : le surprésentéisme, c’est-à-dire le fait de travailler malgré un état de santé qui nécessite un arrêt maladie.
Ce livre constitue la première enquête menée en France sur ce sujet. Il révèle qu’un peu plus de la moitié des Français sont venus travailler au moins une fois dans l’année tout en étant malades. Le surprésentéisme s’élèverait ainsi en moyenne à 10 jours par personne et par an.
À travers de nombreux témoignages, l’auteur expose les causes de ce phénomène et dresse une typologie des surprésentéistes. Il souligne également les dangers que ce type de comportement représente pour soi mais aussi pour ses collègues.
Ce livre vise à avertir les pratiquants du surprésentéisme des dangers qu’ils font courir à leur santé. Il s’adresse aussi aux entreprises et aux pouvoirs publics afin de les sensibiliser à ce nouvel enjeu de santé publique.
Préface de Jean-Pierre Brun ; Postface de Pervenche Berès
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Je fais partie d’une génération qui détient plus de soixante-dix surnoms : génération 35 heures, génération always on, génération contrat, génération enfant-roi, génération Internet, génération Mc Do, génération Me-We, génération précaire, génération Tanguy, génération Y, génération zapping…
Tous ces qualificatifs donnent le vertige. En même temps, c’est rassurant : si vous, les « vieux », avez besoin de tant de surnoms pour parler de nous, c’est bien la preuve que nous ne sommes pas si faciles que cela à cerner !
Lassé par les clichés colportés sur la jeunesse française actuelle, j’ai pris ma plume pour raconter qui nous sommes.
Chers papas, chères mamans, chers patrons, c’est donc à vous que j’écris, ainsi que, plus globalement, à tous ceux qui voudraient nous comprendre parce que nous sommes vos enfants, vos petits-enfants, vos neveux et nièces, vos clients, vos salariés et tout simplement l’avenir : bref, ceux qui payeront votre retraite.
Il ne s’agit ni de verser dans le panégyrique pour souligner comme nous serions jeunes et beaux tandis que vous seriez vieux et cons, ni de glorifier je ne sais quelle « jeune attitude » pour vous ringardiser du même coup. Non, loin de moi cette fâcheuse tendance à opposer jeunes et moins jeunes en soufflant sur les braises d’un éventuel conflit intergénérationnel.
Au contraire, à travers ce « Guide du Routard » sur les jeunes, je vous livre notre mode d’emploi. Vous pourrez ainsi mieux nous connaître, mieux nous comprendre et peut-être (qui sait ?) nous aimer au lieu de nous juger ! »
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